Moteur de Recherche de Veille Concurrentielle pour l'Industrie Pharmaceutique et de Santé

mardi 24 avril 2012

Guide de l'intelligence économique pour la recherche [D2IE]

Guide de l'intelligence économique pour la recherche en 2012 :



Rédigé par un groupe de travail, ce guide est une véritable introduction à la politique d'intelligence économique pour le monde de la recherche et des universités. 

sources : Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche - Délégation interministérielle à l'intelligence économique [D2IE]-

mercredi 18 avril 2012

L’application mobile du BOAMP, disponible gratuitement pour les smartphones

BOAMP mobile
10 avril 2012 – Le Bulletin officiel des annonces de marchés publics (BOAMP), qui a fêté ses 55 ans le 4 avril dernier, lance son application : BOAMP mobile. Celle-ci donne rapidement et facilement accès, via un smartphone, aux offres de marchés publics et aux résultats de marché, selon les critères de recherche paramétrés par chaque utilisateur. 


Disponible gratuitement sur Apple Store et Google Play, l’application BOAMP mobile a été conçue pour simplifier et optimiser la sélection au quotidien et le suivi des avis de marchés pertinents pour les entreprises - et leurs commerciaux itinérants - qui souhaitent développer leur chiffre d’affaires. Utilisation nomade, gain de temps, partage des informations avec ses collaborateurs, possibilité d’annotation… sont offertes par l’application BOAMP mobile. 

L’objectif est de rendre les services de l’administration toujours plus accessibles, en proposant une application du BOAMP adaptée aux besoins des entreprises qui souhaitent identifier les marchés publics pertinents par rapport à leur secteur d’activité, implantation… depuis leur smartphone.

écran accueil BOAMP mobile

Une approche personnalisée des recherches de marché public 

Chaque utilisateur de l’application mobile du BOAMP peut paramétrer ses recherches grâce à une grande variété de critères : type d’avis ou de marchés recherché, seuil du marché, période de publication, délai restant de réponse, domaines d’activité. De plus, la géo-localisation lui permet d’être informé des marchés à proximité de son périmètre d’activité et avec l’enregistrement de ses critères, sa recherche s’en voit simplifiée et accélérée au quotidien. L’utilisateur peut ensuite trier et affiner le résultat de sa recherche pour mieux cibler les marchés, par date limite de réponse, date de publication ou département, par ordre croissant ou décroissant. La mise en favoris lui permet de suivre un avis et d’être avisé lorsque celui-ci fait l’objet d’un avis lié (rectificatif ou avis d’attribution).

Une fluidité de lecture

 BOAMP mobile offre une lecture simplifiée, adaptée au format et aux fonctions du smartphone de l’utilisateur, privilégiant ainsi une vision des informations clés du marché pour une prise de décision rapide.
Deux modes de visualisation sont proposés : rapide (éléments clés « l’essentiel de l’avis ») ou complet (texte intégral de l’avis « format officiel »).
L’utilisateur peut en un « coup de pouce » appeler ou envoyer un mail à l’acheteur public, consulter son site internet, visualiser les avis liés (avis de marché initial, rectificatif, avis d’attribution) à celui qui est consulté, et ce directement depuis son smartphone.

formulaire recherche BOAMP mobile

Un suivi et un partage d’informations optimisés

Avec l’application BOAMP mobile, il est possible d’archiver et d’organiser les avis pour un suivi personnalisé :

  • l’icône « favoris » est présente à l’écran tout au long de la navigation pour un accès rapide à ses avis archivés, 
  • le suivi de l’avis est simplifié par la notification à chaque publication d’un avis lié à l’avis placé en favoris. 
L’utilisateur peut également annoter l’avis placé en favoris, les trier en fonction des avis répertoriés « répondus » ou « non répondus », paramétrer des notifications afin de recevoir des alertes sur le délai restant pour répondre à l’appel d’offre et le partager avec ses contacts (par mail).

jeudi 5 avril 2012

Selon l'OMPI , avec 125 demandes d’enregistrement international de marques, Novartis a été le principal déposant en 2011

OMPI
12 mars 2012 - Nombre record de dépôts de demandes d’enregistrement international de marques en 2011 - L’année 2011 a été celle où le plus grand nombre de demandes d’enregistrement international de marques ont été déposées dans le cadre du système de Madrid concernant l’enregistrement international des marques administré par l’OMPI (ci-après dénommé “système de Madrid”) avec 42 270 demandes, soit une hausse de 6,5% par rapport à 2010. Les demandes déposées par les États membres de l’Union européenne (UE) représentaient plus de la moitié (57,4%) de toutes les demandes et la Chine est restée le pays le plus fréquemment désigné pour la protection des marques.

Le système international des marques de Madrid permet aux entreprises de protéger leurs marques en fonction de leurs stratégies d’exportation et offre un excellent rapport qualité/prix. La reprise de l’activité du système de Madrid à laquelle nous avons assisté en 2010 s’est renforcée pendant l’année 2011, qui a été marquée par un nouveau nombre record de dépôts de demandes d’enregistrement international des marques”, a déclaré M. Francis Gurry, Directeur général de l’OMPI.

Parmi les 10 premiers pays du système, les plus fortes hausses ont été enregistrées dans la Fédération de Russie (+35,6%), devant l’Union européenne (+24,5%), les États-Unis d’Amérique (+15,5%) et la Chine (+11,5%).

Le nombre d’enregistrements internationaux inscrits au registre international des marques a augmenté de 8,5%, avec un total de 40 711 nouveaux enregistrements effectués en 2011.

En 2011, l’OMPI a également effectué 21 754 renouvellements d’enregistrements internationaux, ce qui illustre la valeur que les entreprises continuent d’attribuer à leurs marques connues à un moment où la situation économique mondiale est incertaine.

L’activité internationale en matière de dessins et modèles industriels a également augmenté en 2011, l’OMPI ayant reçu 2521 demandes d’enregistrement au titre de l’Arrangement de La Haye concernant l’enregistrement international des dessins et modèles industriels, qui compte 59 membres, soit une hausse de 5,7% par rapport à l’année précédente.

ompi Système de Madrid l'enregistrement international des marques

Système de Madrid – Tendances régionale et nationale en matière de dépôts

Les 10 principaux déposants sont les mêmes qu’en 2010. Toutefois, en 2011, l’Office de l’harmonisation dans le marché intérieur (marques, dessins et modèles) (OHMI) a dépassé l’Allemagne en tant que premier déposant, avec quelque 5859 demandes internationales déposées en 2011, soit une progression de 24,5% par rapport à 2010.

Avec 5000 dépôts de demandes internationales, soit 11,8% du total, les déposants de l’Allemagne se classent au deuxième rang, alors que les déposants ayant leur adresse aux États-Unis d’Amérique prennent la troisième place avec 4791 demandes internationales, soit 11,3% du total. La France arrive en quatrième position avec 3804 demandes, soit 9% du total. La Suisse s’est maintenue au cinquième rang avec 2933 demandes, soit 6,9% du total, précédant l’Italie, la Chine et le Benelux (Belgique, Luxembourg et Pays-Bas).

Avec quelque 24 275 demandes internationales, les pays de l’Union européenne ont déposé 57,4% du total des demandes en 2011. Ces chiffres comprennent les demandes internationales déposées par l’intermédiaire des offices des marques des pays concernés ainsi que celles déposées par l’intermédiaire de l’OHMI.

Principaux déposants et principaux titulaires

Avec 125 demandes d’enregistrement international de marques, l’entreprise Novartis (Suisse) a été le principal déposant en 2011, suivie de Philip Morris (Suisse), Boehringer Ingelheim Pharma (Allemagne), Richter Gedeon Nyrt (Hongrie), Nestlé (Suisse), Philips (Pays-Bas) et BMW Aktiengesellschaft (Allemagne).

Novartis

Avec un total de 2364 enregistrements internationaux, l’entreprise Henkel (Allemagne) détient le plus grand nombre d’enregistrements dans le cadre du système de Madrid. À la fin de 2011, les 20 premiers titulaires d’enregistrements internationaux étaient : Henkel (Allemagne), Janssen Pharmaceutica (Belgique), Novartis (Suisse), L’Oréal (France), Unilever (Pays-Bas), Nestlé (Suisse), Sanofi-Aventis (France), BASF (Allemagne), ITM Enterprises (France), LIDL (Allemagne), Bayer (Allemagne), Boehringer Ingelheim Pharma (Allemagne), Siemens (Allemagne), BIOFARMA (France), Richter Gedeon Nyrt (Hongrie), Syngenta (Suisse), Philips (Pays-Bas), Philip Morris (Suisse), Merck (Allemagne) et KRKA (Slovénie).

Principales parties contractantes désignées

Pour toute demande d’enregistrement international de marque, le déposant doit désigner les parties contractantes dans le territoire desquelles il souhaite faire protéger sa marque. Il peut aussi étendre les effets d’un enregistrement international à d’autres membres en déposant une désignation postérieure à tout moment pendant la durée de validité d’un enregistrement international. Ainsi, le titulaire d’un enregistrement international peut élargir la portée géographique de la protection de sa marque en fonction de l’évolution des besoins commerciaux et des stratégies d’exportation.

En 2011, le nombre de désignations dans les nouveaux enregistrements internationaux et les désignations postérieures était de 323 855, ce qui correspond à une hausse de 8,1% par rapport à 2010.

Les 10 membres les plus fréquemment désignés en 2011 restaient les mêmes qu’en 2010, à savoir la Chine (18 724 désignations), l’Union européenne, les États-Unis d’Amérique, la Fédération de Russie, la Suisse, le Japon, l’Australie, la République de Corée, la Turquie et l’Ukraine. Les 40 autres parties contractantes les plus fréquemment désignées demeuraient inchangées, à l’exception d’Israël, qui figurait pour la première fois dans ce groupe (24e position), du Kirghizistan (39e position) et de l’Ouzbékistan (40e position).

Classes de produits ou de services les plus fréquemment mentionnées

Dans une demande d’enregistrement de marque, le déposant doit préciser les produits ou les services destinés à être protégés par la marque conformément à un système de classement international dénommé “classification de Nice”. Les classes de produits ou de services les plus fréquemment mentionnées dans les enregistrements internationaux effectués en 2011 étaient la classe 9 (qui couvre par exemple le matériel et les logiciels informatiques) avec 8,9% du total, la classe 35 (qui regroupe les services tels que les travaux de bureau, la publicité et la gestion des affaires commerciales) avec 7,3% du total, la classe 42 (qui couvre les services fournis, par exemple, par les ingénieurs dans les domaines scientifique, industriel ou technique et les spécialistes dans le domaine informatique) avec 5,3% du total, la classe 25 (qui couvre les vêtements, les chaussures et la chapellerie) avec 5,2% du total, la classe 41 (qui couvre les services dans le domaine de l’éducation, de la formation, du divertissement et des activités sportives et culturelles) avec 4,5% du total et la classe 5 (qui comprend principalement les produits pharmaceutiques et les autres produits à usage médical) avec 4,5% du total... lire la suite du communiqué de presse de l'OMPI -

mercredi 4 avril 2012

Vidéo : Présentation de la plateforme d'ouverture des données publiques "data.gouv.fr"

Présentation de la plateforme d'ouverture des données publiques "data.gouv.fr" [06/12/2011 - DURÉE: 31'59] :




Séverin Naudet, directeur d'Etalab, a présenté le 5 décembre la plateforme d'ouverture des données publiques "data.gouv.fr".

Cette plateforme recense plus de 350 000 jeux de données, qualifiés et recensés par 90 producteurs, parmi lesquels des administrations centrales et des établissements publics, mais aussi des autorités administratives indépendantes, et 4 collectivités territoriales (Longjumeau, Saint-Quentin, Coulommiers, le Loir-et-Cher).

source : Présentation de la plateforme d'ouverture des données publiques "data.gouv.fr" -

mardi 3 avril 2012

CAS et Taylor & Francis : collaboration afin d'améliorer l'accès des scientifiques aux recherches publiées

SciFinder
February 19, 2012 - Les améliorations de SciFinder fournissent des procédures expérimentales supplémentairesChemical Abstracts Service (CAS), la référence mondiale en matière d'informations chimiques, et Taylor & Francis, un éditeur de premier plan de revues et livres scientifiques, ont annoncé que des milliers de nouvelles procédures expérimentales portant sur des réactions chimiques, issues de trois revues Taylor & Francis sont désormais disponibles dans SciFinder®.

Ces procédures expérimentales, essentielles dans le cadre du processus de décision d'un chimiste synthétique, viennent s'ajouter à celles qui sont actuellement accessibles dans SciFinder, provenant de toutes les publications ACS et des brevets en langue anglaise de l'Office des marques et brevets des États-Unis, de l'Office européen des brevets et de l'Organisation mondiale de la Propriété intellectuelle (2 000 à ce jour).

Taylor and Francis

Les nouvelles procédures expérimentales couvertes dans les bases de données CAS sont issues des trois revues Taylor & Francis suivantes dont l'impact est considérable :


  • Synthetic Communications
  • Journal of Coordination Chemistry
  • Phosphorus, Sulfur, and Silicon and the Related Elements


L'utilité des procédures expérimentales pour les scientifiques recourant à SciFinder est illustrée par le fait que ce contenu oriente les chercheurs directement et de plus en plus vers les publications originales du texte complet.

Christine McCue, vice-présidente du marketing chez CAS a fait ce commentaire « Dans le cadre de notre mission ayant vocation à fournir un accès aux publications scientifiques mondiales de renom, CAS se réjouit de fournir les procédures expérimentales de Taylor & Francis aux centaines de milliers d'utilisateurs de SciFinder autour du monde. »

Chemical Abstracts Service CAS

CAS a de longue date reconnu l'importance des publications chimiques mondiales pour la recherche et elle continuera en 2012 d'ajouter un contenu pertinent. En particulier, SciFinder proposera également des procédures expérimentales issues d'autres sources notamment des traductions en langue anglaise de brevets allemands et japonais de 2008 à ce jour, ainsi que deux revues du Shanghai Institute of Organic Chemistry, le Chinese Journal ofOrganic Chemistry et Acta Chimica Sinica.

source : communiqué de presse CAS en françaisCAS' Press Release -